Le travail c'est la santé !

Et bien non, je ne suis pas mourutre, j'ai simplement... Retrouvé un travail !
Oui, vraie fausse excuse pour justifier de ma honteuse habitude de ne plus poster...
Ceci dit, avez-vous remarqué que quand la vie change d'organisation, on est tout de suite complètement perdu?
Hein parce que moi je m'y étais habitué à mes petites journées où je ne m'imposais qu'une seule chose à faire (lessive, course, rien... Ah bah si, "rien" ça compte comme une chose à faire !).

Alors que maintenant, hein... Je dois déjà m'imposer de me lever à une heure bien précise pour m'imposer de partir à une heure bien précise elle aussi. Prendre le premier RER qui passe, et pas celui d'après parce qu'il y aura moins de monde, nannnnnnnnnnnn. Prendre l'ascenseur alors que j'aime pas ça parce que par les marches, c'est juste la mort. Pas mettre trop de sucre dans le café parce que vu le nombre de café que je me remets à boire par jour, je risque de devenir une grosse dondon avant la fin de l'année. Garder les yeux ouverts et le sourire jusqu'aux oreilles même si je suis fatiguée, que je comprends pas, qu'on m'explique mal ou que ça m'ennerve veugrah ! M'imposer de faire copain-copain avec ces punaises de tableaux excell et de chiffres par milliers que j'avais plus vu depuis avril dernier, et que même c'était le paradis sans eux. Tellement le bonheur que tu oublies que quand c'est les grandes retrouvailles, tu replonge en enfer...

Et puis ce satané désarroi quand les gens, soudain, veulent prendre de tes nouvelles et te demandent : "quoi de neuf?". Parce que tout est tellement "si trop énormément" neuf que tu ne sais pas par où commencer, ni comment faire une synthèse à peu prêt approchante de la réalité de ta "nouvelle" tranche de vie...

Alors bon bein... Tu taffe tu taffe tu taffe, tu souris, tu bois du café, tu t'arrache les cheveux... Et entre deux bouchées de sandwich tu te dis "quanf même faudfrai que veu pofte un peu fur mon blog... kof kof kof kof !"

Bein ouai, parce que t'as aussi perdu l'habitude de gérer le bout de sandwich rebelle qui passe furtivement par le mauvais trou...

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1 empreintes:

João a dit…

la vie n'est pas si dur que ça!et les sandwichs on peut les dompter!

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